"Je crois que ce sera bien raide. Je veux tout dire et il y a des choses bien grosses.
Vous serez content de la façon paternelle et bourgeoise dont je vais peindre les bonnes filles de joie."
En fait de joie l'actrice Nana dévore les hommes croque les héritages et plonge les familles dans le désespoir.
Belle et prodigue elle mène une danse diabolique dans le Paris des lettres de la finance et du plaisir. En se détruisant elle-même elle donne le coup de grâce à une société condamnée détestée par Zola.